Chez Kazidomi, nous sommes très attachés à des modes de consommation plus respectueux de notre planète, et ce depuis nos débuts.
Et c’est donc tout naturellement que nous nous sommes tournés il y a déjà plus de 4 ans vers le vrac. À l’occasion de notre semaine spéciale vrac, revenons vers ce mode de consommation.
Mais d’abord, qu’est-ce que le vrac?
Selon la loi Agec de 2020 , le vrac est défini comme étant un système de ventes de **produits présentés sans emballage, en quantité choisie par le consommateur, dans des contenants réemployables ou réutilisables.
Tout produit de consommation courante peut être vendu en vrac, mais il existe des exceptions telles que :
– L’huile d’olive
– Le lait pasteurisé
– Les produits surgelés (leur manipulation peut accroître le risque de développement des microorganismes pathogènes au moment de la décongélation).
Le vrac est apparu dans les années 80 via des boutiques spécifiques, puis n’a eu de cesse de se développer. Fin 2020, on comptait déjà près de 500 commerces en France.
Bien que l’on trouve maintenant un choix très important dans le vrac, les produits alimentaires restent les plus vendus ( céréales, fruits secs, oléagineux, légumineuses, sucres et farine, etc.), mais les catégories d’hygiène, droguerie, parfumerie et d’entretien ne sont pas en reste et se développent de plus en plus, afin de s’adapter aux besoins des consommateurs. Et c’est en toute logique que, début 2020, le marché du vrac avait déjà dépassé 1,2 milliard d’euros de chiffres d’affaire, une hausse de près de 41% par rapport à 2019.
Malgré un stop observé en 2020 avec la crise sanitaire, le vrac poursuit sa démocratisation en séduisant des consommateurs de plus en plus nombreux, qui souhaitent profiter de ses bénéfices.
Les bénéfices du vrac
Ce mode de distribution séduit de plus en plus : 62 % des Français souhaiteraient même plus de produits en vrac (74 % épicerie, 58 % entretien, 43 % hygiène-beauté, 30 % aliments animaux). À l’occasion de notre semaine spéciale vrac, redécouvrons ensemble ses bienfaits.
Un coup de pouce vers du plus naturel
Les produits proposés en vrac sont essentiellement des produits bruts, non transformés. Pas d’étiquettes, pas de codes barres, et pas de produits industriels, ce sont surtout des matières premières qui vous permettront de renouer avec le fait-maison : farines, fruits secs, oléagineux, etc., mais aussi des produits “slow cosmétiques” tels que les savons noirs, les gels douches, les argiles… La présence d’additifs ou d’excipients nocifs est donc minimisé.
Un impact environnemental amoindri
L’autre avantage du vrac est sans nul doute son côté écologique : il génère 95% d’emballages en moins, ce qui signifie qu’il permet d’économiser de l’eau, du CO2, et des matériaux, puisque la production d’emballages nécessite de nombreuses ressources. Rappelons que chaque année, d’après les chiffres de l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie), les Français jettent dans leurs poubelles 254 kilos d’ordures ménagères, dont un tiers d’emballages ménagers.
Cette tendance, qui s’inscrit dans la démarche antigaspillage populaire, est également portée par un cadre législatif favorisant la réduction des déchets d’emballages : la loi Climat et Résilience du 24 août 2021 impose en effet aux magasins de plus de 400 m² de consacrer 20 % de leur surface de vente au vrac d’ici 2030.
Des prix bien souvent avantageux
Une étude comparative des prix de différents produits vendus en vrac par rapport à leurs versions préemballées menée par l’Institut National de la Consommation et l’ADEME montre que pour les produits bio, qui dominent largement dans le panel des produits vendus aujourd’hui en vrac, le vrac est de 4 % à 22 % moins cher que le préemballé.
Et puis, acheter en vrac, c’est prendre ce dont on a besoin, ni plus, ni moins. Le vrac permet en effet d’acheter uniquement ce dont nous avons besoin, et donc de n’acheter que la quantité désirée. Il y a donc moins de gâchis, et donc des économies. Les produits conventionnels sont souvent en format plus important que nos réels besoins, et donc plus chers.
De plus, le traitement et la revalorisation des déchets coûte de l’argent. Éliminer les déchets signifie moins s’appuyer sur ces services. C’est par conséquent un allègement de ce coût !
Et Kazidomi dans tout ça?
Férus de consommation responsable, nous ne pouvions pas passer à côté du vrac et c’est pourquoi nous l’avons adopté depuis plus de quatre ans maintenant.
Forts de notre expérience, nous proposons désormais plus de 90 produits en vrac. Nous exerçons un contrôle total sur le sourcing de nos produits, ce qui nous permet de sélectionner les fournisseurs les plus optimaux pour chacune des références et de préserver la qualité de nos produits.
Afin de vous permettre d’avoir les meilleurs prix possibles,, nous achetons nos produits dans d’importantes quantités et nous faisons réaliser nous-même le conditionnement avec nos propres packagings.
Ainsi, contrairement aux tendances du marché, les prix de nos produits Kazidomi Vrac ont diminué de 1% par rapport à fin 2022. Par exemple, en moyenne, le prix de :
- Nos amandes a baissé de 7%
- Nos noix du Brésil de 5%
- Nos noix de Cajou de 4%
- Nos graines de chia et nos graines de courge de 3%
Et ce malgré certains produits que nous nous procurons maintenant de manière plus locale :
- Flocons d'avoine français
- Graines de Chanvre françaises
- Sarrasin d’origine européenne
Ils rejoignent ainsi la belle famille française des haricots rouges, lentilles vertes et noires, pois chiches, graines de tournesol et graines de lin.
Retrouvez notre gamme entière de produits vrac en cliquant sur ce lien
Sources :
Le marché du vrac en France en 2021Yougov – 06/12/21
La vente en vrac : un marché florissant qui n’en est qu’à ses débutsAdeme- 26/11/21
Panorama et évaluation environnementale du vrac en FranceAdeme – novembre 2021
Denrées alimentaires : la vente en vrac a besoin d’un peu d’ordreDGCCRF – 04/04/22
Vente en vrac : que sait-on sur cette tendance de la consommation responsable ? [FAQ] citeo.com – 16/03/22