Pendant l’été, protéger sa peau des rayons du soleil à l’aide d’une crème solaire est un MUST. Cela, tout le monde l’a compris. Et ces dernières années, on s’intéresse de plus en plus à leur composition.
Comment agissent les crèmes solaires ?
Les crèmes solaires agissent grâce à des filtres. Il existe deux grandes catégories de filtres :
-les filtres minéraux
-les filtres de synthèse (=chimiques)
Les filtres minéraux forment un miroir et reflètent les rayons UV sans les laisser pénétrer la peau. Alors que les filtres de synthèse « transforment » les rayons UV en rayons non-nocifs.
Seulement, il n’y a pas que ça dans les crèmes. Pour assurer un confort à l’utilisateur et le satisfaire au maximum, les industriels ont recours à des additifs nocifs. Conservateurs, parfums, épaississants, agents hydratants… la liste est plutôt longue.
Par exemple, pour éviter les traces blanches à l’application, les marques ont recours aux filtres sous forme de nanoparticules. Ils assurent alors une certaine fluidité aux consommateurs. Et pourtant, les risques sanitaires sont présents !
Quels sont les risques ?
L’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES) recommande de ne pas utiliser les crèmes solaires contenant des nanoparticules de dioxyde de titane sur une peau abîmée ou sur les coups de soleil du fait des risques potentiels pour la santé humaine.
En plus de ces effets toxiques sur la santé, les crèmes solaires avec des filtres de synthèse seraient aussi toxiques pour l’environnement, et surtout pour les coraux. Pendant votre baignade, une partie de la crème solaire auparavant appliquée reste dans l’eau !
Une étude suisse a en effet relevé que les composants chimiques, non biodégradables, sont en partie responsables du blanchiment et de la mort du corail, dans les zones très touristiques. Ils estiment que 4.000 à 6.000 tonnes d’écran total sont libérées chaque année dans les zones de récifs tropicaux par les 78 millions de touristes qui se baignent.
Des filtres de crèmes solaires ont aussi été retrouvés dans des lacs suisses, dans le fjord d’Oslo, et dans l’eau du robinet en Californie. La raison ? Les stations d’épuration parviennent difficilement à éliminer les filtres de synthèse. Certains filtres ont même été retrouvés dans le lait maternel dans une étude menée sur 52 femmes de la maternité de Bâle.
Quelle est la solution ?
Les crèmes solaires bio sont de plus en plus développées. Dans ces crèmes, on ne trouve que des filtres minéraux, et donc pas de filtre de synthèse. Les filtres minéraux sont la plupart du temps constitués de dioxyde de titane ou d’oxyde de zinc.
Plus la crème sera composée de matières naturelles, plus elle sera biodégradable et donc moins elle sera nocive pour l’environnement. Les crèmes solaires bio certifiées par le label Cosmebio d'Ecocert, doivent contenir 95% d'ingrédients d'origine naturelle.
C’est pourquoi il est nécessaire de choisir une crème solaire bio.
Les crèmes solaires Acorelle sont biodégradables, sans zinc, ni filtre chimique pour le plus grand respect de la peau et du milieu marin.
De la même manière, les crèmes solaires Madara sont formulées avec de l'aloe vera ultra hydratant, un bouclier anti-oxydant breveté à base de cellules souches de Dracocéphale de Ruysch (fleur nordique) et un écran solaire naturel UVA / UVB à large spectre et sans nano particules.
Celles d'EVOA sont 100% d'origine naturelle, avec des filtres minéraux, non toxiques pour le milieu marin et résistantes à l'eau.
Plus qu'à faire votre choix !