Coline est une influenceuse qui nous inspire sur les réseaux sociaux, avec qui on rigole et qui nous partage ses astuces alimentaire. Depuis quelques mois, nous collaborons avec Coline pour vous proposer des produits au gout merveilleux mais contenant peu de sucre. C'est l'occasion pour nous de vous présenter cette femme pétillante qui à travers cet article, nous parle en toute franchise de son rapport avec le sucre.
Hello Coline, peux-tu te présenter à nos lecteurs en quelques mots ?
Je m’appelle Coline, j’ai 35 ans, je suis créatrice de contenus depuis 15 ans, j’ai deux enfants, je suis une grande enthousiaste de la vie qui aime des tas de choses que je ne vais pas énumérer ici parce qu’on en a pour 3h et j’ai une grande passion pour tout ce qui se mange (hormis les animaux).
Pourquoi cette collab avec Kazidomi et plus particulièrement sur le sujet du sucre ?
Aaaah le sucre ! On avait très peu de sucre à la maison quand j’étais enfant, pas de bonbons, de gâteaux industriels ou de trucs dans le genre et je ne sais pas si ça m’a traumatisée, mais très jeune j’ai développé une véritable addiction au sucre. Dès que j’avais 3 francs six sous (ouais j’ai connu les francs, ahah !) je fonçais à la boulangerie acheter des bonbons.
Et puis les années passent et un jour je commence à me sentir de moins en moins en forme, je relie les points et j’identifie un des soucis majeurs dans mon alimentation : ma consommation de sucre.
Quels effets (méfaits) sur ton organisme as-tu clairement identifiés dès que tu consommes des produits sucrés ?
Ça a vraiment commencé il y a seulement quelques années, mais chez moi ça se manifeste surtout avec des SPM (syndromes prémenstruels) très violents. À force d’y faire attention j’ai vraiment noté une énorme différence entre mes SPM lorsque j’ai eu une consommation de sucre raisonnable (voire très basse) le mois précédent et mes SPM lorsque j’ai consommé une tonne de sucre (typiquement avec Halloween, mon SPM de novembre est INFERNAL).
Quand je consomme beaucoup de sucre je peux être sûre que mes SPM vont être très longs (parfois plus de 10 jours) et très douloureux d’un point de vue psychologique, au point de frôler des états dépressifs.
Pour couronner le tout j’ai aussi un microbiote qui s’est complètement déglingué depuis cet été, j’ai fait des mycoses à répétition et j’ai vraiment du mal à m’en sortir.
Comment définirais-tu ton rapport avec le sucre maintenant ?
Depuis quelques mois, il est un peu plus apaisé. J’arrive à passer des journées entières sans consommer de produits sucrés (dans le sens raffiné, bonbons, gâteaux, chocolat etc.) et je le vis plutôt bien. Avant, je pouvais vraiment le vivre comme une immense frustration et une privation terrible et je finissais toujours par craquer.
Qu’est ce qui a fonctionné chez toi pour calmer ta consommation de sucre, et ses conséquences ?
La première chose c’est de faire des repas qui me font plaisir et dont je ressors avec un sentiment de satisfaction. Du coup j’ai vraiment repris le chemin de la cuisine et j’essaie de manger des trucs sympas à tous les repas.
J’ai aussi noté que moins je mangeais de sucre et moins j’avais envie d’en manger. Du coup j’ai aussi expliqué à celui qui partage ma vie (et qui ne se nourrit pas hyper sainement dans la globalité avec une grande passion pour les trucs industriels dont les gâteaux et compagnie…) que ce serait cool qu’il ne revienne pas tous les 2 jours avec 6 paquets de gâteaux parce que pour moi c’est très difficile de résister quand la tentation est sous mon toit.
Quelles alternatives intéressantes gardes-tu dans ton placard ?
J’ai toujours du chocolat noir dans mes placards, c’est quelque chose que j’adore et que j’arrive à consommer de façon hyper raisonnable contrairement aux chocolats plus axés “confiserie”. J’ai aussi pris l’habitude de manger plus de fruits (ça me donne mon shot de sucre ahah) que j’associe souvent à des purées d’oléagineux. C’est objectivement délicieux et tout aussi satisfaisant pour moi qu’un paquet de bonbecs, mais sans les inconvénients.
T’interdis-tu certains produits sucrés ?
Alors techniquement je ne m’interdis absolument rien. J’essaie juste de rester raisonnable, d’éviter d’acheter des trucs sucrés qui pourraient me tenter quand j’ai un petit coup de barre ou un coup de mou émotionnel (ouais je suis de la team je compense avec la bouffe, youpi). Et aussi je lâche prise le week-end parce que sinon ce n’est pas vivable. Je sors pas mal, je vais au resto, boire des bières et si je commence à me torturer dès que je mange un dessert ou boit une deuxième bière on n’est pas sorti…
Comment le gères-tu auprès de tes enfants ?
Du mieux que je peux ? ahah ! J’ai deux passionnés de sucre à la maison (mais de qui peuvent-ils bien tenir ça….) et c’est vraiment dur à gérer. On n’a pas de bonbons ou de sodas/jus de fruits pour les enfants à la maison, mais, régulièrement par exemple, mon fils rentre de l’école avec quelques bonbons suite à un anniversaire et à 3 ans ça devient difficile de lui faire oublier qu’il est rentré avec des trucs qui avaient l’air hyper sympas dans son sac ahah.
Du coup c’est la règle de la parcimonie, il peut en avoir un et c’est tout. Après pour mon ado c’est beaucoup plus compliqué parce qu’elle est grande, qu’elle peut aller s’acheter des trucs dans les magasins toute seule donc bon… J’essaie de lâcher prise parce que je ne peux pas tout contrôler.
Être une maman avec un planning bien chargé et garder un équilibre alimentaire, c’est faisable ?
J’ai envie de dire oui…mais ça dépend des périodes (et d’autres facteurs aussi, mais on va pas tout énumérer hein…). Quand mon fils est né il y a 3 ans on a très très mal mangé pendant plusieurs mois, parce qu’on était crevés, qu’il fallait s’occuper des enfants, travailler et puis… survivre quoi. J’ai recommencé à vraiment cuisiner quand on a débuté la diversification alimentaire : on a fait la DME (Diversification Alimentaire menée par l’enfant) avec notre fils et je pense que ça a aidé à retrouver le chemin des fourneaux).
Dans la globalité je passe rarement plus d’une demie heure en cuisine, notamment parce qu’on mange très simplement. Bien, et bon, mais simple. Des pâtes, des pommes de terre, des légumes cuits à la vapeur et légèrement assaisonnés, des crudités, un peu de pain, de fromage, parfois des trucs un peu plus travaillés comme des currys de légumes, mais dans la globalité c’est toujours très simple et ça n’empêche pas que ce soit bon.
J’aime bien cuisiner avec mon fils aussi. Lui il s’amuse, il apprend, ça l’occupe et on passe un moment ensemble et moi ça me fait un petit coup de main qui est toujours bon à prendre.
Qu’évoque la notion d’IG bas chez toi ?
Mon goal dans la vie ? Ahah !
Quelles pratiques fonctionnent bien chez toi pour maîtriser ta glycémie ?
Suivre les conseils de la coach nutrition de Kazidomi, Lucile ! ;) Plus sérieusement, déjà éviter les trucs over chargés en sucre, faire des repas nourrissants et bien équilibrés qui ne vont, si possible, pas faire exploser ma glycémie et donc me filer des appels au sucre 1h après la fin de mon repas, manger plus de fruits, des oléagineux.
Quels sont tes produits phares à IG bas que tu commandes sur Kazidomi ?
Les pains sans gluten Seedful, délicieux ! Le houmous de Les 3 Chouettes, les céréales au chocolat Triboo pour mon fils (bon ok il préfère quand même les gâteaux pleins de sucres, mais quand il en mange au petit dej’ ou au goûter c’est la victoire).
Peux-tu nous parler des produits que tu as créés avec Kazidomi ?
On a imaginé un chocolat noir absolument INCROYABLE (et qui me manque beaucoup depuis que j’ai terminé les échantillons… vivement qu’il sorte !) avec des fruits secs, des oléagineux, le tout en version fondante et délicieuse, mais pas vénère niveau sucre !
Un granola qui est juste dingue, qu’on peut manger sucré ou salé (sur les salades c’est un délire) et qui en plus est riche en protéines.
Et on est toujours en train de travailler sur une pâte à tartiner/purée d’oléagineux… C’est difficile de faire quelque chose de bon et peu dosé en sucre, mais je suis confiante, on va y arriver !